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Dijon est une ville de France, préfecture du département de la Côte-d'Or et chef-lieu de la région Bourgogne. Ses habitants sont appelés les Dijonnais. En 2006, la population de Dijon intra-muros était de 151 504 habitants, d'après les populations

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Creation: 14/05/2009 21:30
Update: 14/05/2009 21:39
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bandu2 : menu_arrow.gif Article: La Tour Elithis a été inaugurée au début du mois d’avril à D - 14/05/2009 21:39

La Tour Elithis a été inaugurée au début du mois d’avril à D

Réalisée par l’architecte Jean-Marie Charpentier, le bâtiment produit 6 fois moins de CO2 qu’un bâtiment traditionnel !
Il faut dire que la tour est bien équipée : 1400m2 de vitrage de façade (pour faire entrer la luminosité), une toiture constituée de panneaux solaires, des luminaires à économie d’énergie, la récupération d’eau de pluie pour les sanitaires, un bouclier thermique qui permettra d’éviter de mettre la climatisation lors des hausses de températures l’été etc… Sans parler de l’isolation (ouate de cellulose) qui est partout dans l’immeuble.

Une simple chaudière à granulés de bois permettra de chauffer tous les bureaux l’hiver !

La consommation annuelle énergétique sera de 20kWh/m2. Pour la baisser à O kWh, les salariés participeront, comme en éteignant leurs ordinateurs avant de partir etc…
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bandu2 : menu_arrow.gif Article: Urbanisme : Dijon met le cap au Sud ! - 14/05/2009 21:33

Tandis que le nord de l’agglomération dijonnaise a connu un renouvellement profond et réussi, le sud, curieusement, a été laissé en l’état. Aussi le maire socialiste François Rebsamen en a-t-il fait le morceau de choix de son second mandat « Nous allons réaménager le sud de Dijon, de l’hôpital général à l’avenue Jean-Jaurès. » Mais, d’abord, il faut réviser le plan local d’urbanisme, le fameux PLU, un document aussi important qu’obscur pour les habitants. « Entamée en 2005, la révision a été arrêtée pendant la campagne des municipales. Il faut aussi pouvoir acquérir les friches qui maillent l’espace et attendre le déménagement de l’hôpital général, prévu pour 2010 », explique Pierre Pribetich, conseiller municipal, ex-adjoint à l’urbanisme.

Pour l’heure, coincé entre sa zone d’activité commerciale Cap Sud, le quartier d’habitat social de Chenôve et la commune de Marsannay-la-Côte, où les habitants opposent une vive résistance aux velléités de développement d’un habitat dense, le sud de l’agglomération attend sa mue. L’opération urbanistique à venir devrait améliorer considérablement l’attrait de la zone. Les terrains libérés par l’hôpital général, qui doit emménager sur le site du CHU, les anciens établissements militaires et les minoteries ouvrent des possibilités d’aménagement considérables.

Dans le centre de la ville, les projets pullulent également. Le candidat battu de l’UMP, François-Xavier Dugourd, avait promis « une rivière pour Dijon » ; le maire, la réalisation d’un tramway sur rails ou sur roues (BusWay). « Pour choisir, nous attendons les résultats complets des études de faisabilité », explique Pierre Pribetich. Se pose en effet la question du financement. Jusqu’où la ville peut-elle aller ? « La réalisation d’un "vrai" tramway implique des travaux importants et suppose un engagement fort de tous les partenaires publics, notamment l’Etat », commente ce dernier.

Quel effort demander aux citoyens ? Une question d’autant plus controversée que le bilan du maire en matière de transports est mitigé. S’il a amélioré les temps de trajet en transports collectifs en développant les sites propres, la réorganisation du réseau, censée limiter les passages de bus au centre, a largement été contestée. Tout comme les fameux couloirs, qui congestionnent fortement le trafic aux entrées urbaines. « Nous allons poursuivre la piétonisation du coeur de ville et renforcer les navettes gratuites », commente François Rebsamen. Depuis le début du mois de mars, les Dijonnais peuvent également emprunter les Vélodi, la ville ayant emboîté le pas à la tendance générale en proposant des vélos en location.

La place de la voiture a été un thème fort de la dernière campagne. Et, paradoxe, le maire s’est vu débordé par son opposant de droite : « Dans le coeur de Dijon, il faut développer des flux propres, avec des moyens de transport écolos », proposait François-Xavier Dugourd. Son programme : créer des espaces intermodaux sur la ceinture de boulevards, avec des possibilités de stationnement facilitées et l’accès aux transports propres vers le centre historique.

En attendant, le centre-ville, ni très facilement accessible en voiture ni très bien drainé par des transports propres, décline doucement. Son poids relatif dans le commerce de l’agglomération-13 %, selon une étude des commerçants-régresse.

Mais c’est également autour d’un projet absolument essentiel pour Dijon-la réalisation d’une étoile ferroviaire à grande vitesse-que le débat sur la place de la voiture s’est cristallisé. La ville va créer une seconde gare TGV, qui sera localisée au niveau de l’actuelle gare de marchandises de Porte-Neuve. Un choix que le maire justifie par la proximité du pôle d’affaires, de l’université et du centre-ville, mais qui, pour ses opposants, soulève un problème d’accès en voiture.

« En choisissant le site de Porte-Neuve pour accueillir la gare TGV, François Rebsamen fait un choix dogmatique. Comment va-t-on accéder au site, qui jouxte la place du 30-Octobre, déjà congestionnée ? » interpellait, il y a quelques semaines, Bernard Depierre, député UMP de Dijon, qui milite avec l’opposition municipale pour une gare plus excentrée au nord, offrant plus de possibilités en matière d’interconnexion routière et de parking.

L’équipe du maire revendique son choix de centralité et renvoie l’opposition municipale à ses incohérences : « Nous nous battons pour ajouter à la branche est du TGV, qui va relier Dijon à Besançon et Mulhouse, une branche ouest et sud. Et, sur la branche ouest, justement, nous faisons face à un blocage du conseil général, qui veut à tout prix une desserte de Montbard », dénonce Pierre Pribetich. « Avec ce noeud ferroviaire à grande vitesse, c’est l’avenir de Dijon qui se joue. Montbard, qui est une ville importante, ne justifie sans doute pas qu’on lui sacrifie un projet aussi crucial », conclut-il.

D’autres équipements sont moins contestés et devraient bientôt voir le jour : le stade de foot, la piscine olympique... En attendant la nouvelle médiathèque !

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Urbanisme : Dijon met le cap au Sud !